Première condition : L'islâm, et son contraire est la mécréance. Les oeuvres du mécréant sont rejetées quelque soit
l'oeuvre qu'il accomplit. La preuve (de cela) est la parole d'Allah ÊÚÇáì : « Il n'appartient pas aux
associateurs de peupler les mosquées d'Allah, vu qu'ils témoignent contre eux-mêmes de leur mécréance. Voilà ceux dont les
oeuvres sont vaines; et dans le Feu ils demeureront éternellement. » (soute tawbah verset 17) et Allah ÊÚÇáì a dit :
« Nous avons considéré l'oeuvre qu'ils ont accompli et Nous l'avons réduite en poussière éparpillée. » (sourate al forqân verset 23). (1)
(1) : Les oeuvres du mécréant sont rejetées quelque soit l'œuvre qu'il accomplit. Ceci est la signification de sa
condition, c’est-à-dire que l'absence d'Islâm implique l'absence de la prière et (cela implique aussi) l’absence de validité
de quelqu’œuvres que se soit car aucune oeuvre du mécréant n'est acceptée.
Toutes les oeuvres de piété ont pour condition (d'acceptation) l'islâm, et la preuve est la parole d'Allah ÊÚÇáì :
« Il n'appartient pas aux associateurs de peupler les mosquées d'Allah, vu qu'ils témoignent contre
eux-mêmes de leur mécréance. Voilà ceux dont les œuvres sont vaines; et dans le Feu ils demeureront éternellement. » (sourate tawbah verset 17)
ce qui atteste (ici de la nullité des actes est) : "leurs oeuvres sont vaines". Et la parole d'Allah ÊÚÇáì :
« Nous avons considéré l'oeuvre qu'ils ont accomplie et Nous l'avons réduite en poussière éparpillée. »
(sourate al forqân verset 32), c’est-à-dire qu’ils ne sont pas rétribués pour leurs oeuvres.